Manipulateur, séducteur, têtus, curieux, sanguinaire, dominateur, imbus de lui même à l'excés, cultivé, charmant, menteur, passeur de marché, observateur, rancunier, déteste perdre l'ascendant, critique, gentleman teinté de vulgarité, cruel, sadique, excellent acteur, franc parlé acéré, prudent, minutieux, dépourvus de toute empathie, imaginatif, créatif, travailleur, organisé, sensuel, sexuel.

▼ Rapport au corps et à l'apparence: Narcisse des temps modernes, oreilles toujours rabattues comme sa gueule elle était belle, ego gonflé au fil des décennies. Amour de soit indécent, laissant peu de place à autrui. Néron, il a conscience de sa beauté et de l'effet qu'il peut faire sur autrui, statue grec éternelle, éphèbe faisant germer les fantasmes. Il n'a aucune honte à user de son charme à l'excès. S'il n'a pas un besoin d'entretenir son apparence, il dispose malgré tout d'une coquetterie certaine, peignant ses paupières de pigments et ses lèvres de teintes sombres. Il porte un intérêt tout particulier à son apparence et à sa garde de robe, profitant de sa richesse pour se payer qualité et sur-mesure. La présentation est importante, il le sait de son temps avec les 'patients'. Un bel emballage embrasse les cœurs, il suffit ensuite de s'assurer d'endormir la conscience pour le saisir à pleine main.

▼ Plus grande fierté: Hormis lui-même en général, sa liberté gagnée. Certaines le blâment d'avoir profité de la naïveté d'une jeune sorcière pour mettre à son avantage le serment qui devait l'unir aux sorcières éternellement. Mégères acariâtres qui se clament bienveillante en rendant la conscience aux vampires, mais qui ne supportent guère de voir leurs jouets leur échapper. Le simple fait de savoir qu'il est une épine bien douloureuse dans la plante de leurs pieds, et qu'elles se noient en leur impuissance le satisfait. Puéril en un sens, mais si satisfaisant après la trahison de Nokomis.

▼ Santé mentale:  Voulez-vous savoir si avoir servi de vide bourses à de vieux croulants durant des années a fait de lui ce qu'il est ? Cela a certes laissé des marques, difficile de sortir indemne d'une telle expérience surtout lorsqu'elle se répète. Cependant, Neron décida de ne pas laisser cette fatalité le détruire, mais d'en faire une force, se jurant la bile encore dégoulinante de ses lèvres juvéniles, qu'il parviendrait à se sortir de cette situation. La pharmacie ne le rendit pas sanguinaire et sadique, il était cassé bien avant cela, sûrement dès son premier regard sur le monde. Emplie d'une noirceur poisseuse noyant tous ceux qui l'approche. Neron se baigne en une allégresse divine, mais il n'est nullement une personne stable. Personne assassinant de jeunes hommes pour les dévorer avant de les peindre disloqués et éventré n'est saint d'esprit.

▼ Avis politique: Comme dirait le chat flottant en un film grand publique de ce siècle "je ne fais pas de politique." Il observe de loin, se qu'il se dit, se qu'il se trame, dans le simple but de s'assurer que rien ne viendrait à son détriment. Mais de manière générale, il se moque bien de ce que les humains peuvent manigancer.

▼ Croyances: Difficile voir hypocrite de douter sur surnaturelle lorsqu'on en est le fruit et qu'on s'en nourrit. De son vivant, il aurait sûrement rit au nez de celui voulant lui conter de tels récits, le monde étant déjà bien assez horrible ainsi, il n'avait guère besoin d'avantage de noirceur. Engrangement son avis est bien divergeant d'alors depuis plus de deux siècles. Pour ce qui est de ses croyances religieuses, il n'a pas le souvenir avoir un jour porté Dieu en son cœur, ou même d'y avoir apporté une quelques conque intérêt. Il savait qu'il ne pouvait compter que sur lui-même pour survire, et n'offrait que son dédain à ceux qui s'écorchait les genoux et se déchirer la gorge de prière en l'espoir qu'un miracle leurs tombes sur la tronche.

▼ Roles models: Difficile de s'accorder les grâces ou même l'intérêt du vampire. On pourrait dire qu'il admire les peintres antiques pour leurs techniques, de manière générale, l'art est un moyen de l'atteindre, mais il reste très critique et exigeant sur le sujet, méprisant les artistes de pacotilles et les fainéants. Il apprécies ceux qui savent se battre, du temps qu'ils se soumettent à sa personne, a contrario les chialeuses qui se morfondes dans leurs malheurs le débecte. S'il fallait être honnête, le respect que l'ont peut obtenir de lui est toujours fort illusoire, il n'offre au monde qu'un méprit poisseux tolérant certains inopportuns dans son sillons.

▼ Ambitions: Profiter finalement, sans se soucier de quoi que ce soit. Du moins, c'est son ambition du moment, il n'a toujours pas pardonné la trahison de Nokomis, de plus, il n'est pas dupe, les sorcières changeront d'avis, et les siens redeviendront des pantins sans âmes. Prémices de rébellion et de solutions qui germe dans son esprit, il les garde secrètes pour l'instant, le temps est à la méfiance, mais pas encore à la guerre.

▼ Défauts détestés: Tout ce qui n'est pas sa personne l'exaspère en général. Mais ceux qui observe la vie sans la mordre à pleine dent lui sorte par les yeux, les mendiants au bonheur, les idiots, les naïves, les donneurs de leçon. Les êtres pitoyables qu'il est si facile d'écraser rien qu'en les frôlant.

▼ Rapport à la difficulté: Obstinément têtu, il ne se laisse guère, facilement abattre par les obstacles. Il se prend plutôt au jeu de les exterminer. Ses désirs se doivent de devenir réalité. S'il en a bavé sa vie entière et qu'il se gausse d'un peu de tranquillité, il n'a pas peur de ce qui peut subvenir sur son chemin. Conscient qu'avec de l'ingéniosité parsemée de volonté, il est toujours possible de trouver un détour ou de se frayer un chemin pavé d'or, et de carmin.

▼ Rapport à l'organisation: Cela dépend, atelier tantôt en un chaos sanglant, tripes et hémoglobines recouvrant les murs et le sol, tantôt aussi propre qu'une morgue. Comparaison qui se vaut au vu des nombreux cadavres qui ont séjourné en ces murs intimes. Une fois lassé de ses modèles, il lui faut suivre un rituel minutieux afin d'en disposer, ne laissant traces aucune de leurs passages en son logis. Hors de son lieu de travail, il est plutôt ordonné, d'avantage par confort que par maniaquerie. Il apprécie ce sentiment de satisfaction d'un logis bien rangé, si éloignée du taudis crasseux qui le vie grandir.

▼ Contradictions: Blâme autrui pour leurs narcissismes et leurs égo démesuré. Exaspéré par ceux qui ont un complexe de supériorité. Hôpital qui ne se fou pas seulement de la charité mais qui y fou le feu avec un bombe nucléaire.



▼ Relations amoureuses: Amour brûlant, amour mordant, amour sanglant. Mais surtout fugace, le temps d'une nuit, d'une attraction, perdition en la luxure avant d'offrir son âme et sa vie. Attirance éphémère qui n'a rien d'une affection pure et sincère. Faim d'inspiration, faim de sang. Il les fait siens sous les yeux témoins de la lune, s'assurant que jamais personne ne pourra les lui prendre. Amour mensonger, tromperie qu'il se plaît à jouer. Se remémore les paroles jadis prononcé :"Jamais tu n'aimerais qui que ce soit d'avantage que toi-même." Vérité lacérant et éternelle.

▼ Les inconnus: Quand il ne les ignore pas tout simplement, il les observe ; se fond dans la masse grouillante de proie potentielle. C'est tout ce qu'ils sont pour lui, de possible modèles et repas, rien de plus et bien moins pour ceux qui ne parviennent pas à éveiller un minimum son intérêt.

▼ Les relations de travail: Joue au charmeur avec la galeriste, gorge le gosier des journalistes de miel, alimente la curiosité de ses followers sur les réseaux sociaux. Son travail lui est personnel, et il n'hésite pas à mélanger les deux univers, invitant ceux qu'il doit manipuler dans son lit, leur offrant une attention dont il manque terriblement. Mascarade évidemment, pions dont il dispose à sa guise, et qu'il s'apprête à jeter dès que leurs utilités seront terminées.

▼ La famille: Ce fou de sa mère biologique, il a cessé de penser à elle dès qu'elle le vendit. C'est presque laisser avoir par les deux catins saphiques, mais Nokomis le rappela cruellement à la réalité. Le beau Aloïs aurait pu être ce qu'il considéra le plus proche d'une famille, trépassé depuis des années. La solitude lui siait, ne jamais faire confiance qu'à soit même, règle d'or que ceux se clamant être sa famille lui apprirent jusque dans sa chair.

▼ Les amis: Ne nomme personne ainsi bien que certains se plaisent à s'octroyer un tel titre. Il tolère tout au plus certains individus, mais sa sympathie est fortement limitée, mais surtout d'une fragilité sans nom. Il est si facile de basculer de ses bonnes grâce à sa liste noire.



▼ La nature: S'en moque du moment que ne lui explose pas au visage, n'est pas du genre à détérioré la nature non plus, n'apprécie guère les détritus jonchant l'herbe ou les trottoirs. Prête attention sans être un activiste de green peace pour autant. Apprécie les fleurs, en a toujours été entouré sa vie durant, manie qu'il n'a pas perdue une fois immortalisé.

▼ L'éducation: Difficile à dire dans son cas, lorsqu'il eu accès a une éducation se fut à la maison et nourrit de sa propre curiosité. Il ne s'intéresse pas au système éducatif d'aujourd'hui, sa vie étant sur les rails il n'a pas besoin de diplôme. Peut-être, dans sa prochaine vie devrat-il s'y intéresser si il décide de se faire passer pour un étudiant, mais pour le moment, il à bien d'autres sujets méritant d'avantage son attention et son temps.

▼ Le travail: Profession de rêve, Juneau n'est pas très friande de ses œuvres, mais il est parvenu à s'exporter en dehors du territoire alaskien. On s'arrache ses toiles à l'internationale. Il n'est pas rare qu'ils doivent s'absenter pour voyager, ne plus faire partie d'un coven lui facile grandement la tache sur ce point-là. Son travail, c'est un peu toute son essence, il peut facilement se laisser emporter par la créativité, enfermée dans son atelier à couvrir de pigment sa toile immense. Le Baron avait raison, il est doué en la matière et il se moque des controverses, au contraire, il se plaît à les nourris pour en faire un brassier incandescent.

▼ Les technologies: Difficile de prime à bords de s'y habituer, le monde avait évolué sans lui pendant prés de deux siècles. Par chance sa curiosité accouplée à sa soif de savoir lui donnèrent l'envie d'apprendre de ce nouveau monde, de cette époque. Il eut bien des échec avant le succès, mais à présent Neron est parfaitement adapté à l'époque moderne. Le simple fait que les mœurs uraniennes soient d'avantages acceptés suffit à le ravir. Bien sûr, tout n'est pas des plus miroitants, il y a bien des choses qu'il trouve stupide, la technologie peut avoir son côté abrutissant, il y a temps de personne qui ne savent plus quoi faire de leurs dix doigts. Il prend garde à ne pas se laisser hypnotiser et ramollir comme l'amas humain peut le faire. Il prend ce qu'il faut, ce qui est utile sans en devenir un esclave. Il a également compris l'intérêt et l'utilité des réseaux sociaux n'hésitant pas à en faire une arme de plus.

▼ Les sciences: Intérêt qui grandit, principalement en ce qui concerne certaines médecines (comprenez les drogues.). Substance généreuse offrant tant de possibilités ! Curiosité quant à l'astronomie, découvre un monde par-delà les terres. Ne se lancera sûrement jamais dans une carrière scientifique, mais y porte un intérêt curieux et avide. Tant de découvertes sont faites chaque jour, sur terre comme dans le ciel, ça en donnerait presque le tournis.

▼ La loi: La transgresse sans arrêt, la moque avec allégresse dans l'ombre, joue les citoyens modèle de jours, criminel notoire la nuit. Restreint par des règles et des chaînes pendant bien trop longtemps, désireux de liberté, désireux de rebellions ferreuse sur la langue, le frisson du risque, l'appréhension d'être pris, l'euphorie d'être sauf, une nuit de plus, insolence du chanceux qui se gorge.

▼ Le pouvoir: Adepte si se n'est addicte, ne supporte plus de faire des courbettes, préfère écraser que servir de sous-fifres. Plaisir bandant de dominance, les forts obtiennent se qu'ils désires, l'argent ouvre des portes, on dit qu'il ne fait pas le bonheur ? c'est bien une phrase de ceux qui ne parviennent pas à gonfler leurs bourses et qui tentent de se consoler pour ne pas devenir fou. Ca aide grandement, et c'est putin d'agréable d'être au dessus de la masse grouillante des petits gens. Il fut parmi eux bien trop longtemps, et ils ne comptent pas les rejoindre de si tôt.



▼ Lieu de vie : Bâtiment industriel qu'il remit à neuf grâce à l'argent de son héritage dérobé grâce à sa mesquinerie. Une partie faisant office de logis, le reste destiné à lui servir d'atelier. Bâtiment intime, cave gardienne de secret inavouable, fait de brique et de bois, cocon mortuaire. Loft décoré avec gout, apprécie d'être en un endroit charment, lui donne une sensation de luxe et de fierté. Il y a souvent des fleurs chez lui, vielle manie conservé de son humanité, ou des fleurs étaient toujours autours de lui. La ville lui convient parfaitement, la vie, les proies et futur modèle à foisons. La tranquillité de la forêt n'est guère faite pour lui. Il n'a connu que la ville sa vie durant cela dit, mais il sait pertinemment que la tranquillité de la campagne finirait par l'ennuyer foutrement. Il préfère vibrer de l'agitation humaine.

▼ Occupation et temps libre: Évidemment l'art que cela soit le siens ou celui d'autrui prend énormément de place dans sa vie. Le sport, même si il n'en a pas besoin lui permet de laisser son trop pleins d'énergie et de tension s'échapper, l'activité physique dans les draps étant l'un de ses pêché mignon, avec un pointe de séduction pour l'amusement. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, il cuisine souvent, pas pour lui, il n'en a pas besoin, mais pour autrui, de la chair humaine pour les ingénus qui se jette dessus goulument. 

▼ Alimentation Vitale, difficile quant à la provenance de ses plats. Il ne mord pas la gorge de n'importe qui. Il prend garde à ne pas choisir le premier venu, prend le temps de se renseigner autour d'un verre ou de plusieurs. Les touristes sont ses encas favoris, de bien tristes disparitions surviennent si facilement lors d'un voyage, même en une ville aussi pittoresque que Juneau nulle est à l'abri de faire une mauvaise rencontre. Neron rpend garde à ne laisser aucune trace, le téléphone cesse d'émettre, les bijoux sont fondue trouvant une autre utilité, les os servent les sorcières, la viande est digéré par l'entourage du vampire. C'est comme si ses victimes avaient quitté cette terre en une fraction de seconde.

▼ Situation financière Les poches débordant d'or, gamin des caniveaux qui s'élève dans la société. L'héritage soutiré par la malice bombé par les ventes de ses toiles lui offre une vie plus que confortable, à l'abri du moindre besoin.

▼ Le divertissement: Il est d'avantage friand de musique que de télévision, ou, si il s'intéresse aux écrans, ce sont ceux du cinéma ou avec un service svod. Il ne supporte pas de devoir attendre devant un ramassis de débilité que son programme revienne le divertir. Ni qu'on lui impose des horaires de visionnage. Il n'est pas rare que son atelier résonne de musique ou de vidéo d'analyse cinématographique. La lecture est un autre de ses passe-temps. Il a des goûts plutôt éclectiques en matière de culture, horreur, fantastique, poésie, sociologie. Il exerce les comédie et tout ce qui concerne l'eau de rose, cela lui donne envie de s'arracher les yeux.  

▼ Endroits favoris: Sans doute aucun, son atelier. Mausolée contenant ses secrets, confident silencieux qu'il modèle à sa guise. Situé à la frontière du centre historique, proche de l'animation, mais suffisamment éloigné pour que les regards se fassent moins curieux et investigateurs. Ancien bâtiment industriel qu'il racheta avec son héritage en faisant le parfait donjon pour ses larcins. Lieu de création prenant la majorité de l'espace, le reste étant son logis, cimetière de briques et de blanches faisant face aux eaux glacées, emportant ses amours secrets et fugaces.